Une émotion nue serrant la gorge du spectateur. Une formidable mosaïque de la mémoire. Un film sensible. Limpide et mélancolique. Après le stupéfiant Une Jeunesse Allemande, Lumières d’été fait habilement le lien entre passé et présent. Un film subtil et profondément japonais Un film touchant, capable de faire oublier les ravages de la guerre. Une douce rêverie. Jean Gabriel Périot réalise une Fiction qui possède la véracité d’un documentaire et  [ Read More ]

Une émotion nue serrant la gorge du spectateur.

Une formidable mosaïque de la mémoire.

Un film sensible.

Limpide et mélancolique.

Après le stupéfiant Une Jeunesse Allemande, Lumières d’été fait habilement le lien entre passé et présent.

Un film subtil et profondément japonais

Un film touchant, capable de faire oublier les ravages de la guerre.

Une douce rêverie.

Jean Gabriel Périot réalise une Fiction qui possède la véracité d’un documentaire et la puissance d’une féerie.

Périot instille la douceur pour mieux raviver les blessures et les cicatrices d’un Japon couturé, heurté, meurtri.

« Lumières d’été » est un film apaisant, conte d’amour joyeux porté par la grâce d’un fantôme bienveillant.

On se laisse happer par cette atmosphère finement mise en scène qui emporte doucement aux confins du surnaturel.

Un film fascinant.

Un film essentiel.

Très beau et poignant.